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CONCOURS « Permis de rêver »
DU 6 JANVIER AU 1er FEVRIER
RÉSULTATS 6 FEVRIER
Thème : Est-il encore permis de rêver ? Que signifie le rêve pour vous ?
Consignes :
Toutes formes acceptées.
Attention à l’orthographe, aux répétitions et à la ponctuation !
Attendre les résultats avant de poster les poèmes participants sur votre page.
Chaque concurrent pourra envoyer trois poèmes.
Vous pouvez également participer en hors concours.
Envoi de vos participations sur ma MP.
Comme vous devez- vous en douter : BESOIN DE JUGES !!! Me contacter sur ma MP.
1 La trêve de la sève de mes faux rêves. LURON1er 8.16
Aujourd’hui, je veux vous la conter brève,
Pour que je ne vous ennuie pas de mes rêves
Mes nuits sont trop encombrées de cauchemars,
Pour que je n’ai pas envie de veiller trop tard.
Ce jour, en dégustant la galette, j’ai avalé la fève,
En, pensant : J’suis roi et maintenant je crève !
Mon cerveau encombré, assailli en traquenard,
Dans mon sommeil, il reste toujours en bazar.
Pourtant dans mon école j’étais un très bon élève,
Où mon prof d’histoire nous créait des histoires de glaive,
Qui aveuglaient mon cerveau de la vie de César,
Quand les gladiateurs s’étripaient même en char.
C’est quand vient le jour que je vois la relève,
Et que de ces noirceurs, je voudrais faire la grève,
Que dans l’obscurité, ne reste que mon avatar,
Afin que de mes faux rêves, je ne sois plus pétochard.
Et s’il est d’un permis de rêver d’une trêve
J’ai perdu tous mes points, du repos je n’ai plus de sève.
De toutes ses histoires, je veux les mettre au placard,
Pour que mes siestes ne soient plus liées au hasard.
Un titre qui ne donne pas l’envie de se mettre en grève d’humour !
Lecture fort amusante et divertissante.
Un titre qui en dit long...
Écriture aisée en rimes suivies et suffisantes.
Hélas on ne maîtrise pas les « rêves » nocturnes, viennent-ils de vies antérieures, d'une réalité ou d'une triste histoire trop bien racontée et la nuit devient enfer. En nous, le chaos s'insinue, le vrai rêve disparaît prolongeant nos maux diurnes...
Toujours est-il que cela dérange un sommeil paisible qui devrait être réparateur...
Cet écrit réaliste m'interpelle.
Poème en rimes redoublées, avec alternances des rimes F/M, et vers avec métrique libre.
Les rêves d’aventures d’un enfant, aux cauchemars d’un adulte, pour le sujet je retiens le permis de rêver à point.
Un peu confus comme dans un rêve
2 Rêve ou destin réel d'une vie irréelle. REVEUR LUNAIRE 8.51 médaille d'argent
Chère dont la beauté semble être un mensonge
De sa précision, j'admire son savoir
Autant que j'aimerais sur mon amour l'avoir
Comme son enveloppe à l'heure de ce songe,
Au visa de rêver, ce présage me ronge
Vous l'étoile du cœur le plus joli devoir
Qu'ait fait enfin la nuit, sans même apercevoir
Votre visage d'or, quand le jour se prolonge ;
Définition veut, pour l'exemple des mots
De ce mirage enfin, de nouveaux guillemots,
S'envoleront ici comme de nombreux anges,
Rêverie ou délire à nous de l'inventer,
Cette autre illusion de nos destins étranges,
Car le rêve est réel comme vie à tenter...
Belle écriture, j’aime beaucoup la conclusion, sorte de moralité !
Un très beau sonnet tout en rimes riches
A une syllabe près ( premier vers du premier quatrain, tout était en alexandrins! )
Le pouvoir onirique tel yin et yang, équilibre et rythme nos vies, quel qu'il soit, le rêve nous entrouvre
consignes toutes formes acceptées, ici choix d’un sonnet, bien construit avec l’alternance des rimes F/M, en alexandrins comme l’exige un sonnet mais attention votre premier vers n’a que 11 pieds, après je n’ai pas vérifié tous les vers.
Rêver d’un amour interdit ou la peur de rêver de cet autre, rêve ou désire, bel approche du sujet.
Un beau sonnet
3 Amour de papa ANGEPAPILLONNANOU 7.87
La nuit touche les premières lueurs matinales, à peine mes paupières se sont alourdies,
Déjà sur un nouveau monde, le jour est progressivement venu s'ouvrir,
Ce matin-là, je gigotais, j'étais encore plongé dans mon sommeil malgré mon corps engourdit,
Je crois que je rêvais, ne cessant point une seconde de me couvrir, découvrir et me recouvrir,
À bord d'un très grand voilier où j'étais installé, voguant sur l'océan, j’accompagnai mon père,
Un air zéphyrien passait sur nous, et nous provoquait de bien nombreux frissons,
Seule une île déserte semblait être encore pour nous notre unique repère,
Ensemble avec un bel enthousiasme, nous chantions, nos voix furent à l'unisson,
Oui, je rêve, je rêve inlassablement de ce papa qui n'était nul autre que le mien qui fut si aimant,
Parfois, je retrace en ma mémoire tous nos souvenirs où l'on avait l'air très radieux,
Même si depuis des années, hier, aujourd'hui, demain, mon cœur saigne et saignera inconsciemment,
Dans les tréfonds de moi-même, je sais très bien que jamais, je n'ai su lui dire vraiment adieux,
Souvent sans bruits, je désire à nouveau ou ne serait-ce qu'une autre dernière fois ta main,
Entendre encore ton rire résonnait dans la maison ou même seulement l'écho de ta voix,
À mon réveil, hélas, toi, tu n'es plus là, alors je viens déposer sur ta tombe un bouquet de jasmin,
Au creux de ma main, je dépose un baiser volant et la guide vers le ciel, uniquement à toi, je l'envoie.
Un rêve bien émouvant ! (sans bruit…aucun bruit, donc au singulier)
Poème très émouvant
Beau rêve permettant de prolonger la vie de votre cher disparu et en même temps, de vous réconforter...votre conclusion en témoigne.
Un écrit en rimes alternées, suffisantes (ex : main et jasmin)
riches ( ex : adieu et radieux- Frissons et unissons ) entre autres.
( engourdi... adieu sans s...raisonner
Vers un peu longs.
Toutes formes acceptées, poème en rime ABAB, mais des vers un peu trop long pour un poème, presque une prose et l’effet de la rime se perd,
faute « mon corps engourdit » faut pas de « T »,« entendre encore ton rire résonnait » « er » infinitif, ou alors écrire « ton rire qui résonnait », « et la guide vers le ciel »trop éloigné de « la main » et la virgule laisse penser qu’il s’agit du « baiser » et l’on s’attend à « et le guide ».
Sans vraiment philosopher sur la question du sujet, vous y répondez à votre manière, seul le rêve vous autorise, vous permet de revivre un moment fort avec cet être cher, disparu, comme votre papa,
très émouvant, mais quelques lourdeurs et maladresse votre poésie y gagnerait à faire des vers plus court
4 Si de rêver, il nous a été permis. WILLIAM LECORNIER 8.72 médaille d'or
Maintes fois, j'ai rêvé, de voir un jour le monde ;
Sans aucun préjugé, sans race ni couleur,
Prônant la liberté, pour un nouvel ailleurs,
Sous un ciel magnifique où le soleil inonde.
Ainsi, de mettre un terme à cette guerre immonde
Qui tue des innocents et fait régner la peur
Dans toute l'atmosphère, en semant la terreur
Parmi les habitants, l'horreur nauséabonde.
Si le fait de rêver, redonne un peu d'espoir,
Pour retrouver la paix, avec tout le pouvoir
De l'amour, nous vaincrons toute la violence.
Ensemble, nous irons en se donnant la main ;
Dans un futur prochain, avec la tolérance ;
Pour qu'enfin, nous vivions un meilleur lendemain.
Titre bien conçu, à fond dans le thème, ici le rêve est un souhait…Belle écriture
Un titre prometteur et plein d'espoir.
Un rêve que tous aimeraient voir se réaliser.
Vraiment un superbe sonnet en alexandrins et rimes suffisantes bien choisies
consignes toutes formes acceptées, ici un sonnet qui me parait bien construit,
« sans race ni couleur » j’aurais mis l’ensemble au pluriel.
Un rêve de paix, plus un souhait, un rêve éveillé en sorte qui nous est contraint ou inspiré par la dureté de certaine réalité de ce monde.
Un beau sonnet, un beau message de paix, il est toujours permis de rêver « lol »
5 Berceau d’illusions ANGEPAPILLONNANOU 8.14
Soudainement, je me suis retrouvée seule, au cœur d’un moment éphémère,
Lasse de ne pas toujours avoir su donner un sens à mes chimères,
Me sentant comme un coquillage qui se laisse emporter par la mer,
Sur le sofa, je me suis assoupie seulement quelques instants,
Les échos des souffles de vent sont venus me bercer ne serait-ce qu'un temps,
J'aurais tellement aimé pouvoir rêver ce même rêve encore très longtemps,
Bien blottie dans un berceau d’illusions, les yeux mi-clos, je me suis endormie,
Quelques pas vers les rêves inaccessibles, je me suis permis,
Parfois, il arrive que je ne veuille pas vivre ceux-là qu'à demi,
Sous chacune des grâces des toutes dernières divinités,
Je m'inspire sans bruit en profitant de cette si belle nuitée,
Rêver est bien encore l'une de ses merveilleuses gratuités,
Un berceau comme celui-ci est semblable à un bel empire,
Au point que je puisse y apercevoir le merveilleux pont des soupirs,
Durant ces instants de silence, tranquillement, j’ai su m'assoupir,
Trouvant un certain confort dans ce joli berceau,
Où, soudainement, mes rêves s'en emplissent d’idéaux,
Alors qu’entre rêves et espérances rien ne peut être plus beau.
Cela peu à peu, dans les tréfonds de moi-même c’est très joliment repeint,
Tout deviendrait en vain simple dans ce monde pour lequel on se donnerait la main,
On s'aimerait un peu plus qu’hier, si fort aujourd'hui, mais sûrement moins que demain.
Pour l’harmonie j’aurais écrit « les échos du souffles des vents »
Attention toutefois aux répétitions « je me suis assoupie/ j’ai su m’assoupir »
Un rêve empli d’espoir !
De bien jolis tercets emplis d'espoirs, assortis d'une belle conclusion.
( Rimes suivies et suffisantes ).
Vers un peu longs.
*Le pont des soupirs à Venise, était l'endroit où les prisonniers envoyaient un dernier adieu à leur liberté...*
consignes toutes formes acceptées, ici poème en rimes suivies par trois pourquoi pas,
des vers bien trop longs, attention un mot ne peut rimer avec lui même ou ses déclinaisons donc « temps et longtemps » la rime n’est pas valable, bien que le mot rêve est le sujet du CC il est bien trop utilisé «attention aux répétitions», « s’en emplissent d’idéaux » mal dit et confus déjà « s’en emplissent » répétition du son « en » pas très harmonieuse, et « s’en » le « en » fait ainsi référence à l’adjectif précédent donc ici au confort, pour se rapporter à l’adjectif suivant « s’emplissent d’idéaux » aurait été plus juste, dans ce vers « Tout deviendrait en vain simple dans ce monde » je me demande si c’est bien le mot juste pour exprimer ce que vous vouliez exprimer, car vain à un sens négatif, écrit ainsi on peut comprendre que cela n’arrivera pas, que ça servirait à rien, surtout précédé de « deviendrait » qui laisse sous entendre qu’avant c’était faisable et que là ça ne l’ai plus comme si ce n’est pas ce que vous désiriez.
Rêves, illusion, espérance, idéaux, tout y est.
Un poème, un joli rêve, une belle intention, mais pas toujours des mieux exprimés dommage
6 Garde à vue. FYSCO 8.20
Me suis fait arrêter
Juste avant le lever.
La police des songes
M'accuse de mensonge
Car il est interdit
Dans certains lieux maudits
De penser, méditer,
Sans permis de rêver.
Attention la sanction :
Une flagellation
Puis la décollation
Et pas de fellation.
Fort amusant, toutefois je ne vois pas ce que vient faire ici la fellation…J’aurais mis « et pas d’expiation/ d’obstination ou de compassion.. »
Un bon titre, une écriture efficace, court mais percutant.
Un rêve bien triste, qui m'a «fait froid dans le dos»
Consignes toutes formes acceptées, ici poème en rimes redoublées, en hexasyllabes (six pieds)
juste « méditer/rêver » rime pauvre.
Vous jouez avec le sujet, un rêve, une sorte de cauchemar qui n’est pas sans nous faire songer à certaines réalités de ce monde.
Un poème bien cadencé, un rythme court qui donne de la force à vos mots, un brin d’humour, j’aime
7 Lorsque rêve mon âme TIERAM 8.29
Quand l’amour se respire au matin dans mon âme
Il s’élance à son heure au soleil scintillant
La saison est venue au parfum pétillant,
Car la clarté s’éveille au bonheur d’une dame.
Cher aimé, viens ouvrir dans le cœur de ma flamme
Une histoire éblouie au monde vacillant,
Car on sait dans la paix cet être suppliant
Où ce doux clair de lune est l’espoir que l’on clame.
Il est temps de penser à la vive chaleur
Que dégage son corps sans aucune douleur
Pour révéler l’instant au bouquet d’une rose.
J’écoute dans sa voix ce silence éternel
Où son ombre illumine un beau rêve charnel
Qui se pare la nuit d’une métamorphose.
Un bien tendre rêve, tout en harmonie
Très beau sonnet émaillé de belles métaphores :
« Pour révéler l'instant au bouquet d'une rose
Quelques belles rimes riches tel que : scintillant. Pétillant ...
Un instant de pure poésie...Merci.
Toutes formes acceptées, ici choix d’un sonnet qui me parait bien construit mais je ne vérifie pas tout, les consignes ne l’exigent pas, à savoir en théorie pour un poème classique tel que l’exige un sonnet, une diérèse ne devrait rimer qu’avec une diérèse donc ici « vacillant et suppliant » pour un puriste la rime ne serait pas valable.
Un rêve charnel, un joli rêve qui cependant passe un peu à côté de la question du sujet.
Un beau sonnet mais qui hélas ne m’a pas enthousiasmé
8 À une définition près. REVEUR LUNAIRE 7.98
Ô jeunesse éternelle, dont l'image
Semble à peine née d'hier, le mirage,
Fraîche fleur de lilas blanc du matin
Dont la parure tisse son satin,
Bel amour aux baisers de cette rose,
À peine que sa jeunesse, l'arrose,
Et s'en vient déjà par le soir tombant
Ce jeune rire d'enfant se courbant,
Heureux enfin qu'avec la nuit se lève
La douce permission de ce rêve,
De parler de bonheur avec la lune
De courir au sommet de cette dune,
Se permettre de rêver des parents
Jeunes, beaux, comme de nouveaux printemps,
Voir le songe de Noël éternel
Et ce simple sourire maternel,
Toutes ces choses qui ma foi, si j'ose
Le dire, qui font du bonheur, sa cause,
Car nous refusons ainsi de rêver
Par peur de vieillir, et laissons lever,
Le jour qui nous cache toutes ces vies
Le miroir de nos songes nos envies,
Alors, je vous demande mes amis
Est-il encore permis de rêver ?
Pour entrevoir ce joli paradis
Que signifierait-il, s'il n'était d'aube
Plus belle que mère, au rêve à couver
Béni par l'éternel songeur en aube,
Refusez donc ce monde adulte où meurt
Le songe qui fait le secret bonheur,
L'amour et la vie seraient illusoires
S'ils n'avaient plusieurs chemins, histoires,
Seul le rêve permet à ce réel
De combattre ce concret irréel...
Tout en douceur ce permis de rêver…
j'ai aimé la profondeur de votre poème en rimes suivies.
Belle conclusion.
Majorité de rimes suffisantes.
Quelques rimes riches :satin et matin...arrose...rose
Rimes pauvres : amis et paradis
Attention à la ponctuation, respiration d'un poème :
Suggestions :
Pas de virgule après : jeunesse- lever-
Virgule après : enfin, lune, vies, amis, songes, envies,
(un peu difficile à lire : tisse son satin)
Toutes formes acceptées, ici un décasyllabe en rimes suivies, « amis et paradis » rime pauvre, certe la qualité de la rime n’est pas demandée, et attention « réel et irréel » un mot ne peut rimer avec lui même ou ses dérivés donc ici la rime ne devrait pas être.
Vous avez à votre façon tentez de répondre à la question du sujet, se refuser de rêver est ce possible, s’autoriser à rêver pour rester jeune et supporter cette réalité.
Une lecture qui se tient, un bon rendu poétique tout en ayant plancher sur la question vous avez bien réussis cet exercice
9 D'un rêve à la réalité ANGEPAPILLONNANOU 7.5
Aux fleurs, je pourrai voler leurs multiples senteurs.
J'en embaumerai des poésies dont j'en serai l'auteur.
Des mots, oui, des mots qui m'ont été inspirés de ma muse,
Ma plume malicieuse entre mes lignes vogue et s'amuse.
Versant des pluies divines, mais torrentielles d'émotions,
Pour ton regard, j'ouvre grandement mon cœur avec passion.
Où, ils y coulent d'immenses et belles cascades sentimentales,
Toutes les odes parfumées se mélangent aux eaux qui s'étalent.
Au ciel d'azur, je puiserai des soupçons de sa brillance.
Et je mettrai dans ton regard toutes les diverses variances.
Dans tous les tourbillons de mes propres cadences,
Seulement toi, malgré toi et rien que toi, tu es devenu mon évidence,
Parfois, il m'arrive d'errer dans ces rues que j'ai toujours connues,
Le sourire aux lèvres, je rêve d'être face à toi pour mettre mon cœur à nu,
Avec toi, chacun de mes mots sera toujours authentique et sincère.
Rêvant qu'un beau jour, entre tes bras chaleureux, tu me serres,
Partout où tu voudras, sans hésiter une seconde, je te suivrai,
Jour après jour, comme nuit après nuit, je t'aimerai,
Même si tu le veux, mon âme ainsi que mon cœur, je te les donnerai.
Un poème parsemé de belles images poétiques où l'amour et la passion s'entrelacent.
Que votre rêve devienne réalité...
De belles rimes suivies, riches. bravo! (sauf : connues et nu ...suivrai : rimes suffisantes)
Suggestions pour plus de légèreté :
des poésies dont je serai l'auteur.
des mots inspirés par ma muse...les soupçons...toutes ses diverses variances
Rêve d’amour sans aucun doute !
Consignes toutes formes acceptées, ici vers en rimes suivies, dommage l’alternance des rimes F/M aurait pu être respectée sur tous les vers, « où, ils y coulent » je suppose que vous vous reportez à «mes lignes » quelques vers plus haut, mais pas très compréhensif, je pense qu’écrit au singulier « où, il y coule » en se rapportant « à cœur » serai plus compréhensif et plus juste.
Rêve d’amour, il ne manque que l’autorisation de l’autre pour être réalité, mais le rêve est permis.
Une belle poésie d’amour, un beau rêve
10 Une nuit d’étoiles! TIERAM 7.88
Ils s’amusent aux pas, petits pas rats, pas chats
Émerveillant les yeux, un monde sous le charme,
Un soupir fige au cœur le courant d’une larme
S’éclaire pour un soir la scène de pachas.
Ils ont pour une nuit qu’un rayon illumine,
Sur un air endiablé, leurs gracieux menus,
Où brillent les tutus, luisent les corps ténus,
Un rêve éblouissant leur âme benjamine.
De toute une suée en des mois de labeur,
Chacun en a souffert de toute une rigueur
Mais nul ne s’en plaindrait, sous ces feux l’espérance,
Que dirige une main dans un gant de velours,
Quand une voix s’entend du professeur de danse,
Derrière les rideaux; c’est le compte à rebours…
Rêve de devenir une étoile à l’opéra ! des jeux de mots tout en finesse, fort poétiquement évoqué dans une ambiance feutrée et féérique
Un joli rêve mais conscient
des sacrifices pour arriver au somme de cet art qu'est la danse classique.
Poème sous forme de sonnet ( rimes suffisantes et riches )
( J'aurais écrit : sous ce feu d'espérance )
consignes toutes formes acceptées ici choix d’un sonnet qui me parait à première vue bien construit, les consignes étant libres je n’ai pas vérifié tous les alexandrins, ceci dit attention à la tournure de vos vers pour faire rentrer vos alexandrins comme au premier vers de votre second quatrain, il y a un truc qui cloche dans votre préposition manque la négation ou un "qui" , « ils n’ont //qu’un rayon qui... » ou « ils ont qu’une nuit qu’un rayon qui... » ou encore votre tout premier vers bien qu’il n’y ai pas de faute en soi, mal formulé.
On ne retrouve pas trop le sujet dans votre sonnet « Est-il encore permis de rêver ? Que signifie le rêve pour vous ? » bien que l’on voit bien dans la difficulté de l’entraînement qu’est pour ces petits rats d'opéra de passer du rêve à la réalité de cet art.
Un joli sonnet, mais quelque maladresse
11 Rêve espoir illusion. WILLIAM LECORNIER 8.33 médaille de bronze
Sans inspiration et toujours pas d'idée,
Je me permets d'oser, moi pauvre rimailleur ;
Défier les dangers de la chasse gardée,
Pour venir affronter, le pire et le meilleur.
Qu'importe, les écrits, pourvu qu'on ait la rime.
En respectant la règle à ce jeu amusant ;
Pas pour être vainqueur, encor moins pour la frime,
Dans lequel on ressort toujours plus florissant.
Car grâce à ce concours qui rend la poésie,
Toute son élégance et à la prosodie,
Sa force et son pouvoir, dans l'intonation.
On se fait un plaisir et sans prendre la tête.
D'attendre, voir, sonner la récréation ;
En se laissant rêver, de devenir poète.
Bien harmonieux et musical
Régal que votre sonnet en alexandrins, à l'écriture aisée et plaisante.
Alternance rimes féminine/masculine respectée entre quatrains et tercets.
Toutes formes acceptées, ici choix d’un sonnet qui me parait à première vue bien construit, en alexandrin et qualité des rimes, bien que « amusant et florissant » rime faible son « s » différent,
et « poésie et prosodie » rime faible mais qui s’explique.
Pour le sujet je ne sais si je dois en saluer l’audace ou bien alors noter le manque de dissertation sur le sujet, mais ici on n’est pas dans un devoir de philo et j’ai bien aimer cette démonstration, pour la médaille vous pouvez rêver ce n’est pas interdit .
Un poème abordé avec humour et légèreté, j’ai bien aimé
12 007, permis de rêver MATTHALE 7.61
007, on m'a octroyé le permis de rêver,
Les autorisations pour maîtriser la chose,
Des accessoires, des gadgets et une prose,
Le diplôme est quand même dur à passer,
007, chaque nuit apporte ses désirs d'aventure,
Quand les songes dépassent toutes devantures,
Pour la réalisation de cette mission, babygirl, fermes,
Tes yeux, le silence doit être absolu, tu es si ferme,
007, jamais de repos sauf en rêves, mais je pétes la forme,
En nocturne accointances avec une brune qui m'allume,
Encore un périple pour plaire à cette femme qui fume,
Je serais fatigué demain d'avoir rêvé ce truc énorme,
Et si elle croit que son décolleté pourrait me réveiller,
je suis au chaud dans mon lit, ne comptant pas bouger,
Même si des soubresauts prouvent qu'elle m'a chauffé,
Je suis sûr d'avoir bavé à un moment, 007, j'en rêvais.
Dans le dernier quatrain 3 rimes en é et le dernier en ai
« je pète et sans s/ nocturne accointance sans s
Un rêve d’être un agent secret, bien évoqué
J'ai beaucoup aimé l'humour et le rythme de votre écrit,
mais attention :
à l'alternance rimes féminine/ masculine entre 2ème et 3ème quatrains
ainsi qu'à l'intérieur des quatrains,
à « Je pète la forme »
au mélange de rimes : ABBA, AABB, ABBA, AAAB ( rime orpheline : rêvais )
Consignes toutes formes acceptées ici tous les quatrains ont une forme différente : 1er ABBA, second rimes redoublées, 3ème ABBA, dernier rimes plates, est ce voulu ? En même temps aucune consigne le spécifie, ceci dit tous vos rimes en son « é » sont des rimes pauvres,
« je pétes la forme » pas de « s » et prend un accent grave « je pète », « je serais » Futur simple à la première personne du singulier pas de « s » « je serai ».
Vous ne répondez pas trop à la question philosophique du CC « Est-il encore permis de rêver ? Que signifie le rêve pour vous ? » mais, il s’agit avant tout d’un CC de poésie, il ne vous est donc pas interdit de vous prendre pour 007 même en rêve.
Un brin d’humour dans ce poème délirant comme dans un rêve
13 Puis rêver GABY 7.56
S'il m' était permis de rêver :
Pour moi, la paix dans le monde
La paix entre brunes et blondes
De la mort, serions préservés
Dans un bloc de granit gravés
Les coups de tonnerre qui gronde
S'il m'était permis de rêver :
Pour moi, la paix dans le monde
Les méchants, tour à tour braver
Avec à la main une fronde
Qui renierait toute faconde
L'amour, lors, pour tous retrouvé
S'il m'était permis de rêver
Un rêve généreux qui montre à quel point,
l'essentiel nous échappe, l'amour, vous avez raison,
est le facteur initial de tout accomplissement humain,
sans lui, la paix en toute chose, ne peut s'installer durablement.
( Suggestions dans l'ordre :
virgules après : monde, blondes, gronde, retrouvé,
points après: préservés. Monde. Faconde.
Dernier vers : rêver...)
Un bel hymne utopique dédié à la paix
(tour à tour bravés) Attention à la ponctuation !
Consignes toutes formes acceptées ici poème, une ronde en octosyllabes rimes F/M alternées,
attention pour l’octosyllabe le second vers n’a que 7 pieds,
« les coups de tonnerres qui gronde » ce sont les coups qui grondent donc « ent ».
Pour le sujet un joli rêve, une bonne question, à cela il vous est permis de rêver, mais que cela soit réalisable est une autre question.
Un joli poème entraînant
HORS CONCOURS
Je me croyais déjà tout permis Llumierelive
Déjà à l’école je me faisais sanctionner :
Plutôt que m’imbiber de racines carrées,
Des débits de l’eau des baignoires qui « fuites »,
Des trains qui se croisent de cinq à sept multipliés par huit,
Des hypothétiques hypoténuses et de ces théorèmes de cosinus,
Je m’évaporais avant d’avoir tout plein bobo dans les sinus !
Même pas en rêve le permis de béer bouche bée,
Le permis de me recréer dans la cour de récré,
Le permis de dormir mes yeux verts ouverts,
Le permis de ne rien écouter et ne rien glander,
Le permis de faire des boulettes de mes copies mal copiées,
Le permis de m’enfuir à tirelire l’aile
Le permis simple de me permettre et d’être…
Pus tard j’ai voulu passer mon permis de rêver :
Mais désillusion…il m’a été refusé !
L’examinateur a eu beau m’expliquer
Qu’il était hors question de me l’octroyer
Car étant en possession d’un tel papier
Je pourrais avoir accès à tout … sans rien payer !
Même pas en rêve le permis de démolir un muret ou le portrait,
Le permis de construire manoir, ou tapanar,
Le permis de conduire bagnole défraichie ou Ferrari
Le permis de pèche au gros ou en ruisseau
Le permis de chasse à cour ou chasse tout court
Le permis de naviguer à vapeur sans peur ou à poils à voile,
Le permis de pilotage sur vieux yoyo ou hélico…
Rêve...Un mot que j'avais oublié. LYS
Quand danse la forêt de mes pensées
Sous le vent des colères assassines,
Tes vagues exacerbées m'illuminent
Rêve tu persistes... jeunes années...
En mon esprit tourmenté s'insinuent,
Flottent les lambeaux d'une âme éclatée...
« Invisible, sommes-nous condamnés ? »
Danses macabres volez vers les nues...
Autour de moi les foules se déchaînent,
La vie reprend ses droits, je crie au ciel :
« Le monde n'a plus ce doux goût de miel,
J'entends les clameurs et leurs bris de chaînes »
Celles d'un grand rêve, celui caché
En nous ; l'espoir de la terre promise,
Chemin bordé de fleurs où je m'enlise...
Rêve d'amour, d’amitiés, retrouvé.
Si entre temps vous m'avez envoyé des poèmes pour le concours et qu'ils ne soient pas sur la page concours, veuillez me les renvoyer sous ce nouveau pseudo...Désolée...
CONCOURS « Permis de rêver »
DU 6 JANVIER AU 1er FEVRIER
RÉSULTATS 6 FEVRIER
Thème : Est-il encore permis de rêver ? Que signifie le rêve pour vous ?
Consignes :
Toutes formes acceptées.
Attention à l’orthographe, aux répétitions et à la ponctuation !
Attendre les résultats avant de poster les poèmes participants sur votre page.
Chaque concurrent pourra envoyer trois poèmes.
Vous pouvez également participer en hors concours.
Envoi de vos participations sur ma MP.
Comme vous devez- vous en douter : BESOIN DE JUGES !!! Me contacter sur ma MP.
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Médaille d'Or WILLIAM LECORNIER 8.72
Médaille d'Argent REVEUR LUNAIRE 8.51
Médaille de Bronze WILLIAM LECORNIER 8.33
Médaille d'Or WILLIAM LECORNIER 8.72
Médaille d'Argent REVEUR LUNAIRE 8.51
Médaille de Bronze WILLIAM LECORNIER 8.33
1 La trêve de la sève de mes faux rêves. LURON1er 8.16
Aujourd’hui, je veux vous la conter brève,
Pour que je ne vous ennuie pas de mes rêves
Mes nuits sont trop encombrées de cauchemars,
Pour que je n’ai pas envie de veiller trop tard.
Ce jour, en dégustant la galette, j’ai avalé la fève,
En, pensant : J’suis roi et maintenant je crève !
Mon cerveau encombré, assailli en traquenard,
Dans mon sommeil, il reste toujours en bazar.
Pourtant dans mon école j’étais un très bon élève,
Où mon prof d’histoire nous créait des histoires de glaive,
Qui aveuglaient mon cerveau de la vie de César,
Quand les gladiateurs s’étripaient même en char.
C’est quand vient le jour que je vois la relève,
Et que de ces noirceurs, je voudrais faire la grève,
Que dans l’obscurité, ne reste que mon avatar,
Afin que de mes faux rêves, je ne sois plus pétochard.
Et s’il est d’un permis de rêver d’une trêve
J’ai perdu tous mes points, du repos je n’ai plus de sève.
De toutes ses histoires, je veux les mettre au placard,
Pour que mes siestes ne soient plus liées au hasard.
Un titre qui ne donne pas l’envie de se mettre en grève d’humour !
Lecture fort amusante et divertissante.
Un titre qui en dit long...
Écriture aisée en rimes suivies et suffisantes.
Hélas on ne maîtrise pas les « rêves » nocturnes, viennent-ils de vies antérieures, d'une réalité ou d'une triste histoire trop bien racontée et la nuit devient enfer. En nous, le chaos s'insinue, le vrai rêve disparaît prolongeant nos maux diurnes...
Toujours est-il que cela dérange un sommeil paisible qui devrait être réparateur...
Cet écrit réaliste m'interpelle.
Poème en rimes redoublées, avec alternances des rimes F/M, et vers avec métrique libre.
Les rêves d’aventures d’un enfant, aux cauchemars d’un adulte, pour le sujet je retiens le permis de rêver à point.
Un peu confus comme dans un rêve
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2 Rêve ou destin réel d'une vie irréelle. REVEUR LUNAIRE 8.51 médaille d'argent
Chère dont la beauté semble être un mensonge
De sa précision, j'admire son savoir
Autant que j'aimerais sur mon amour l'avoir
Comme son enveloppe à l'heure de ce songe,
Au visa de rêver, ce présage me ronge
Vous l'étoile du cœur le plus joli devoir
Qu'ait fait enfin la nuit, sans même apercevoir
Votre visage d'or, quand le jour se prolonge ;
Définition veut, pour l'exemple des mots
De ce mirage enfin, de nouveaux guillemots,
S'envoleront ici comme de nombreux anges,
Rêverie ou délire à nous de l'inventer,
Cette autre illusion de nos destins étranges,
Car le rêve est réel comme vie à tenter...
Belle écriture, j’aime beaucoup la conclusion, sorte de moralité !
Un très beau sonnet tout en rimes riches
A une syllabe près ( premier vers du premier quatrain, tout était en alexandrins! )
Le pouvoir onirique tel yin et yang, équilibre et rythme nos vies, quel qu'il soit, le rêve nous entrouvre
consignes toutes formes acceptées, ici choix d’un sonnet, bien construit avec l’alternance des rimes F/M, en alexandrins comme l’exige un sonnet mais attention votre premier vers n’a que 11 pieds, après je n’ai pas vérifié tous les vers.
Rêver d’un amour interdit ou la peur de rêver de cet autre, rêve ou désire, bel approche du sujet.
Un beau sonnet
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3 Amour de papa ANGEPAPILLONNANOU 7.87
La nuit touche les premières lueurs matinales, à peine mes paupières se sont alourdies,
Déjà sur un nouveau monde, le jour est progressivement venu s'ouvrir,
Ce matin-là, je gigotais, j'étais encore plongé dans mon sommeil malgré mon corps engourdit,
Je crois que je rêvais, ne cessant point une seconde de me couvrir, découvrir et me recouvrir,
À bord d'un très grand voilier où j'étais installé, voguant sur l'océan, j’accompagnai mon père,
Un air zéphyrien passait sur nous, et nous provoquait de bien nombreux frissons,
Seule une île déserte semblait être encore pour nous notre unique repère,
Ensemble avec un bel enthousiasme, nous chantions, nos voix furent à l'unisson,
Oui, je rêve, je rêve inlassablement de ce papa qui n'était nul autre que le mien qui fut si aimant,
Parfois, je retrace en ma mémoire tous nos souvenirs où l'on avait l'air très radieux,
Même si depuis des années, hier, aujourd'hui, demain, mon cœur saigne et saignera inconsciemment,
Dans les tréfonds de moi-même, je sais très bien que jamais, je n'ai su lui dire vraiment adieux,
Souvent sans bruits, je désire à nouveau ou ne serait-ce qu'une autre dernière fois ta main,
Entendre encore ton rire résonnait dans la maison ou même seulement l'écho de ta voix,
À mon réveil, hélas, toi, tu n'es plus là, alors je viens déposer sur ta tombe un bouquet de jasmin,
Au creux de ma main, je dépose un baiser volant et la guide vers le ciel, uniquement à toi, je l'envoie.
Un rêve bien émouvant ! (sans bruit…aucun bruit, donc au singulier)
Poème très émouvant
Beau rêve permettant de prolonger la vie de votre cher disparu et en même temps, de vous réconforter...votre conclusion en témoigne.
Un écrit en rimes alternées, suffisantes (ex : main et jasmin)
riches ( ex : adieu et radieux- Frissons et unissons ) entre autres.
( engourdi... adieu sans s...raisonner
Vers un peu longs.
Toutes formes acceptées, poème en rime ABAB, mais des vers un peu trop long pour un poème, presque une prose et l’effet de la rime se perd,
faute « mon corps engourdit » faut pas de « T »,« entendre encore ton rire résonnait » « er » infinitif, ou alors écrire « ton rire qui résonnait », « et la guide vers le ciel »trop éloigné de « la main » et la virgule laisse penser qu’il s’agit du « baiser » et l’on s’attend à « et le guide ».
Sans vraiment philosopher sur la question du sujet, vous y répondez à votre manière, seul le rêve vous autorise, vous permet de revivre un moment fort avec cet être cher, disparu, comme votre papa,
très émouvant, mais quelques lourdeurs et maladresse votre poésie y gagnerait à faire des vers plus court
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4 Si de rêver, il nous a été permis. WILLIAM LECORNIER 8.72 médaille d'or
Maintes fois, j'ai rêvé, de voir un jour le monde ;
Sans aucun préjugé, sans race ni couleur,
Prônant la liberté, pour un nouvel ailleurs,
Sous un ciel magnifique où le soleil inonde.
Ainsi, de mettre un terme à cette guerre immonde
Qui tue des innocents et fait régner la peur
Dans toute l'atmosphère, en semant la terreur
Parmi les habitants, l'horreur nauséabonde.
Si le fait de rêver, redonne un peu d'espoir,
Pour retrouver la paix, avec tout le pouvoir
De l'amour, nous vaincrons toute la violence.
Ensemble, nous irons en se donnant la main ;
Dans un futur prochain, avec la tolérance ;
Pour qu'enfin, nous vivions un meilleur lendemain.
Titre bien conçu, à fond dans le thème, ici le rêve est un souhait…Belle écriture
Un titre prometteur et plein d'espoir.
Un rêve que tous aimeraient voir se réaliser.
Vraiment un superbe sonnet en alexandrins et rimes suffisantes bien choisies
consignes toutes formes acceptées, ici un sonnet qui me parait bien construit,
« sans race ni couleur » j’aurais mis l’ensemble au pluriel.
Un rêve de paix, plus un souhait, un rêve éveillé en sorte qui nous est contraint ou inspiré par la dureté de certaine réalité de ce monde.
Un beau sonnet, un beau message de paix, il est toujours permis de rêver « lol »
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5 Berceau d’illusions ANGEPAPILLONNANOU 8.14
Soudainement, je me suis retrouvée seule, au cœur d’un moment éphémère,
Lasse de ne pas toujours avoir su donner un sens à mes chimères,
Me sentant comme un coquillage qui se laisse emporter par la mer,
Sur le sofa, je me suis assoupie seulement quelques instants,
Les échos des souffles de vent sont venus me bercer ne serait-ce qu'un temps,
J'aurais tellement aimé pouvoir rêver ce même rêve encore très longtemps,
Bien blottie dans un berceau d’illusions, les yeux mi-clos, je me suis endormie,
Quelques pas vers les rêves inaccessibles, je me suis permis,
Parfois, il arrive que je ne veuille pas vivre ceux-là qu'à demi,
Sous chacune des grâces des toutes dernières divinités,
Je m'inspire sans bruit en profitant de cette si belle nuitée,
Rêver est bien encore l'une de ses merveilleuses gratuités,
Un berceau comme celui-ci est semblable à un bel empire,
Au point que je puisse y apercevoir le merveilleux pont des soupirs,
Durant ces instants de silence, tranquillement, j’ai su m'assoupir,
Trouvant un certain confort dans ce joli berceau,
Où, soudainement, mes rêves s'en emplissent d’idéaux,
Alors qu’entre rêves et espérances rien ne peut être plus beau.
Cela peu à peu, dans les tréfonds de moi-même c’est très joliment repeint,
Tout deviendrait en vain simple dans ce monde pour lequel on se donnerait la main,
On s'aimerait un peu plus qu’hier, si fort aujourd'hui, mais sûrement moins que demain.
Pour l’harmonie j’aurais écrit « les échos du souffles des vents »
Attention toutefois aux répétitions « je me suis assoupie/ j’ai su m’assoupir »
Un rêve empli d’espoir !
De bien jolis tercets emplis d'espoirs, assortis d'une belle conclusion.
( Rimes suivies et suffisantes ).
Vers un peu longs.
*Le pont des soupirs à Venise, était l'endroit où les prisonniers envoyaient un dernier adieu à leur liberté...*
consignes toutes formes acceptées, ici poème en rimes suivies par trois pourquoi pas,
des vers bien trop longs, attention un mot ne peut rimer avec lui même ou ses déclinaisons donc « temps et longtemps » la rime n’est pas valable, bien que le mot rêve est le sujet du CC il est bien trop utilisé «attention aux répétitions», « s’en emplissent d’idéaux » mal dit et confus déjà « s’en emplissent » répétition du son « en » pas très harmonieuse, et « s’en » le « en » fait ainsi référence à l’adjectif précédent donc ici au confort, pour se rapporter à l’adjectif suivant « s’emplissent d’idéaux » aurait été plus juste, dans ce vers « Tout deviendrait en vain simple dans ce monde » je me demande si c’est bien le mot juste pour exprimer ce que vous vouliez exprimer, car vain à un sens négatif, écrit ainsi on peut comprendre que cela n’arrivera pas, que ça servirait à rien, surtout précédé de « deviendrait » qui laisse sous entendre qu’avant c’était faisable et que là ça ne l’ai plus comme si ce n’est pas ce que vous désiriez.
Rêves, illusion, espérance, idéaux, tout y est.
Un poème, un joli rêve, une belle intention, mais pas toujours des mieux exprimés dommage
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6 Garde à vue. FYSCO 8.20
Me suis fait arrêter
Juste avant le lever.
La police des songes
M'accuse de mensonge
Car il est interdit
Dans certains lieux maudits
De penser, méditer,
Sans permis de rêver.
Attention la sanction :
Une flagellation
Puis la décollation
Et pas de fellation.
Fort amusant, toutefois je ne vois pas ce que vient faire ici la fellation…J’aurais mis « et pas d’expiation/ d’obstination ou de compassion.. »
Un bon titre, une écriture efficace, court mais percutant.
Un rêve bien triste, qui m'a «fait froid dans le dos»
Consignes toutes formes acceptées, ici poème en rimes redoublées, en hexasyllabes (six pieds)
juste « méditer/rêver » rime pauvre.
Vous jouez avec le sujet, un rêve, une sorte de cauchemar qui n’est pas sans nous faire songer à certaines réalités de ce monde.
Un poème bien cadencé, un rythme court qui donne de la force à vos mots, un brin d’humour, j’aime
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7 Lorsque rêve mon âme TIERAM 8.29
Quand l’amour se respire au matin dans mon âme
Il s’élance à son heure au soleil scintillant
La saison est venue au parfum pétillant,
Car la clarté s’éveille au bonheur d’une dame.
Cher aimé, viens ouvrir dans le cœur de ma flamme
Une histoire éblouie au monde vacillant,
Car on sait dans la paix cet être suppliant
Où ce doux clair de lune est l’espoir que l’on clame.
Il est temps de penser à la vive chaleur
Que dégage son corps sans aucune douleur
Pour révéler l’instant au bouquet d’une rose.
J’écoute dans sa voix ce silence éternel
Où son ombre illumine un beau rêve charnel
Qui se pare la nuit d’une métamorphose.
Un bien tendre rêve, tout en harmonie
Très beau sonnet émaillé de belles métaphores :
« Pour révéler l'instant au bouquet d'une rose
Quelques belles rimes riches tel que : scintillant. Pétillant ...
Un instant de pure poésie...Merci.
Toutes formes acceptées, ici choix d’un sonnet qui me parait bien construit mais je ne vérifie pas tout, les consignes ne l’exigent pas, à savoir en théorie pour un poème classique tel que l’exige un sonnet, une diérèse ne devrait rimer qu’avec une diérèse donc ici « vacillant et suppliant » pour un puriste la rime ne serait pas valable.
Un rêve charnel, un joli rêve qui cependant passe un peu à côté de la question du sujet.
Un beau sonnet mais qui hélas ne m’a pas enthousiasmé
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8 À une définition près. REVEUR LUNAIRE 7.98
Ô jeunesse éternelle, dont l'image
Semble à peine née d'hier, le mirage,
Fraîche fleur de lilas blanc du matin
Dont la parure tisse son satin,
Bel amour aux baisers de cette rose,
À peine que sa jeunesse, l'arrose,
Et s'en vient déjà par le soir tombant
Ce jeune rire d'enfant se courbant,
Heureux enfin qu'avec la nuit se lève
La douce permission de ce rêve,
De parler de bonheur avec la lune
De courir au sommet de cette dune,
Se permettre de rêver des parents
Jeunes, beaux, comme de nouveaux printemps,
Voir le songe de Noël éternel
Et ce simple sourire maternel,
Toutes ces choses qui ma foi, si j'ose
Le dire, qui font du bonheur, sa cause,
Car nous refusons ainsi de rêver
Par peur de vieillir, et laissons lever,
Le jour qui nous cache toutes ces vies
Le miroir de nos songes nos envies,
Alors, je vous demande mes amis
Est-il encore permis de rêver ?
Pour entrevoir ce joli paradis
Que signifierait-il, s'il n'était d'aube
Plus belle que mère, au rêve à couver
Béni par l'éternel songeur en aube,
Refusez donc ce monde adulte où meurt
Le songe qui fait le secret bonheur,
L'amour et la vie seraient illusoires
S'ils n'avaient plusieurs chemins, histoires,
Seul le rêve permet à ce réel
De combattre ce concret irréel...
Tout en douceur ce permis de rêver…
j'ai aimé la profondeur de votre poème en rimes suivies.
Belle conclusion.
Majorité de rimes suffisantes.
Quelques rimes riches :satin et matin...arrose...rose
Rimes pauvres : amis et paradis
Attention à la ponctuation, respiration d'un poème :
Suggestions :
Pas de virgule après : jeunesse- lever-
Virgule après : enfin, lune, vies, amis, songes, envies,
(un peu difficile à lire : tisse son satin)
Toutes formes acceptées, ici un décasyllabe en rimes suivies, « amis et paradis » rime pauvre, certe la qualité de la rime n’est pas demandée, et attention « réel et irréel » un mot ne peut rimer avec lui même ou ses dérivés donc ici la rime ne devrait pas être.
Vous avez à votre façon tentez de répondre à la question du sujet, se refuser de rêver est ce possible, s’autoriser à rêver pour rester jeune et supporter cette réalité.
Une lecture qui se tient, un bon rendu poétique tout en ayant plancher sur la question vous avez bien réussis cet exercice
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9 D'un rêve à la réalité ANGEPAPILLONNANOU 7.5
Aux fleurs, je pourrai voler leurs multiples senteurs.
J'en embaumerai des poésies dont j'en serai l'auteur.
Des mots, oui, des mots qui m'ont été inspirés de ma muse,
Ma plume malicieuse entre mes lignes vogue et s'amuse.
Versant des pluies divines, mais torrentielles d'émotions,
Pour ton regard, j'ouvre grandement mon cœur avec passion.
Où, ils y coulent d'immenses et belles cascades sentimentales,
Toutes les odes parfumées se mélangent aux eaux qui s'étalent.
Au ciel d'azur, je puiserai des soupçons de sa brillance.
Et je mettrai dans ton regard toutes les diverses variances.
Dans tous les tourbillons de mes propres cadences,
Seulement toi, malgré toi et rien que toi, tu es devenu mon évidence,
Parfois, il m'arrive d'errer dans ces rues que j'ai toujours connues,
Le sourire aux lèvres, je rêve d'être face à toi pour mettre mon cœur à nu,
Avec toi, chacun de mes mots sera toujours authentique et sincère.
Rêvant qu'un beau jour, entre tes bras chaleureux, tu me serres,
Partout où tu voudras, sans hésiter une seconde, je te suivrai,
Jour après jour, comme nuit après nuit, je t'aimerai,
Même si tu le veux, mon âme ainsi que mon cœur, je te les donnerai.
Un poème parsemé de belles images poétiques où l'amour et la passion s'entrelacent.
Que votre rêve devienne réalité...
De belles rimes suivies, riches. bravo! (sauf : connues et nu ...suivrai : rimes suffisantes)
Suggestions pour plus de légèreté :
des poésies dont je serai l'auteur.
des mots inspirés par ma muse...les soupçons...toutes ses diverses variances
Rêve d’amour sans aucun doute !
Consignes toutes formes acceptées, ici vers en rimes suivies, dommage l’alternance des rimes F/M aurait pu être respectée sur tous les vers, « où, ils y coulent » je suppose que vous vous reportez à «mes lignes » quelques vers plus haut, mais pas très compréhensif, je pense qu’écrit au singulier « où, il y coule » en se rapportant « à cœur » serai plus compréhensif et plus juste.
Rêve d’amour, il ne manque que l’autorisation de l’autre pour être réalité, mais le rêve est permis.
Une belle poésie d’amour, un beau rêve
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10 Une nuit d’étoiles! TIERAM 7.88
Ils s’amusent aux pas, petits pas rats, pas chats
Émerveillant les yeux, un monde sous le charme,
Un soupir fige au cœur le courant d’une larme
S’éclaire pour un soir la scène de pachas.
Ils ont pour une nuit qu’un rayon illumine,
Sur un air endiablé, leurs gracieux menus,
Où brillent les tutus, luisent les corps ténus,
Un rêve éblouissant leur âme benjamine.
De toute une suée en des mois de labeur,
Chacun en a souffert de toute une rigueur
Mais nul ne s’en plaindrait, sous ces feux l’espérance,
Que dirige une main dans un gant de velours,
Quand une voix s’entend du professeur de danse,
Derrière les rideaux; c’est le compte à rebours…
Rêve de devenir une étoile à l’opéra ! des jeux de mots tout en finesse, fort poétiquement évoqué dans une ambiance feutrée et féérique
Un joli rêve mais conscient
des sacrifices pour arriver au somme de cet art qu'est la danse classique.
Poème sous forme de sonnet ( rimes suffisantes et riches )
( J'aurais écrit : sous ce feu d'espérance )
consignes toutes formes acceptées ici choix d’un sonnet qui me parait à première vue bien construit, les consignes étant libres je n’ai pas vérifié tous les alexandrins, ceci dit attention à la tournure de vos vers pour faire rentrer vos alexandrins comme au premier vers de votre second quatrain, il y a un truc qui cloche dans votre préposition manque la négation ou un "qui" , « ils n’ont //qu’un rayon qui... » ou « ils ont qu’une nuit qu’un rayon qui... » ou encore votre tout premier vers bien qu’il n’y ai pas de faute en soi, mal formulé.
On ne retrouve pas trop le sujet dans votre sonnet « Est-il encore permis de rêver ? Que signifie le rêve pour vous ? » bien que l’on voit bien dans la difficulté de l’entraînement qu’est pour ces petits rats d'opéra de passer du rêve à la réalité de cet art.
Un joli sonnet, mais quelque maladresse
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11 Rêve espoir illusion. WILLIAM LECORNIER 8.33 médaille de bronze
Sans inspiration et toujours pas d'idée,
Je me permets d'oser, moi pauvre rimailleur ;
Défier les dangers de la chasse gardée,
Pour venir affronter, le pire et le meilleur.
Qu'importe, les écrits, pourvu qu'on ait la rime.
En respectant la règle à ce jeu amusant ;
Pas pour être vainqueur, encor moins pour la frime,
Dans lequel on ressort toujours plus florissant.
Car grâce à ce concours qui rend la poésie,
Toute son élégance et à la prosodie,
Sa force et son pouvoir, dans l'intonation.
On se fait un plaisir et sans prendre la tête.
D'attendre, voir, sonner la récréation ;
En se laissant rêver, de devenir poète.
Bien harmonieux et musical
Régal que votre sonnet en alexandrins, à l'écriture aisée et plaisante.
Alternance rimes féminine/masculine respectée entre quatrains et tercets.
Toutes formes acceptées, ici choix d’un sonnet qui me parait à première vue bien construit, en alexandrin et qualité des rimes, bien que « amusant et florissant » rime faible son « s » différent,
et « poésie et prosodie » rime faible mais qui s’explique.
Pour le sujet je ne sais si je dois en saluer l’audace ou bien alors noter le manque de dissertation sur le sujet, mais ici on n’est pas dans un devoir de philo et j’ai bien aimer cette démonstration, pour la médaille vous pouvez rêver ce n’est pas interdit .
Un poème abordé avec humour et légèreté, j’ai bien aimé
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12 007, permis de rêver MATTHALE 7.61
007, on m'a octroyé le permis de rêver,
Les autorisations pour maîtriser la chose,
Des accessoires, des gadgets et une prose,
Le diplôme est quand même dur à passer,
007, chaque nuit apporte ses désirs d'aventure,
Quand les songes dépassent toutes devantures,
Pour la réalisation de cette mission, babygirl, fermes,
Tes yeux, le silence doit être absolu, tu es si ferme,
007, jamais de repos sauf en rêves, mais je pétes la forme,
En nocturne accointances avec une brune qui m'allume,
Encore un périple pour plaire à cette femme qui fume,
Je serais fatigué demain d'avoir rêvé ce truc énorme,
Et si elle croit que son décolleté pourrait me réveiller,
je suis au chaud dans mon lit, ne comptant pas bouger,
Même si des soubresauts prouvent qu'elle m'a chauffé,
Je suis sûr d'avoir bavé à un moment, 007, j'en rêvais.
Dans le dernier quatrain 3 rimes en é et le dernier en ai
« je pète et sans s/ nocturne accointance sans s
Un rêve d’être un agent secret, bien évoqué
J'ai beaucoup aimé l'humour et le rythme de votre écrit,
mais attention :
à l'alternance rimes féminine/ masculine entre 2ème et 3ème quatrains
ainsi qu'à l'intérieur des quatrains,
à « Je pète la forme »
au mélange de rimes : ABBA, AABB, ABBA, AAAB ( rime orpheline : rêvais )
Consignes toutes formes acceptées ici tous les quatrains ont une forme différente : 1er ABBA, second rimes redoublées, 3ème ABBA, dernier rimes plates, est ce voulu ? En même temps aucune consigne le spécifie, ceci dit tous vos rimes en son « é » sont des rimes pauvres,
« je pétes la forme » pas de « s » et prend un accent grave « je pète », « je serais » Futur simple à la première personne du singulier pas de « s » « je serai ».
Vous ne répondez pas trop à la question philosophique du CC « Est-il encore permis de rêver ? Que signifie le rêve pour vous ? » mais, il s’agit avant tout d’un CC de poésie, il ne vous est donc pas interdit de vous prendre pour 007 même en rêve.
Un brin d’humour dans ce poème délirant comme dans un rêve
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13 Puis rêver GABY 7.56
S'il m' était permis de rêver :
Pour moi, la paix dans le monde
La paix entre brunes et blondes
De la mort, serions préservés
Dans un bloc de granit gravés
Les coups de tonnerre qui gronde
S'il m'était permis de rêver :
Pour moi, la paix dans le monde
Les méchants, tour à tour braver
Avec à la main une fronde
Qui renierait toute faconde
L'amour, lors, pour tous retrouvé
S'il m'était permis de rêver
Un rêve généreux qui montre à quel point,
l'essentiel nous échappe, l'amour, vous avez raison,
est le facteur initial de tout accomplissement humain,
sans lui, la paix en toute chose, ne peut s'installer durablement.
( Suggestions dans l'ordre :
virgules après : monde, blondes, gronde, retrouvé,
points après: préservés. Monde. Faconde.
Dernier vers : rêver...)
Un bel hymne utopique dédié à la paix
(tour à tour bravés) Attention à la ponctuation !
Consignes toutes formes acceptées ici poème, une ronde en octosyllabes rimes F/M alternées,
attention pour l’octosyllabe le second vers n’a que 7 pieds,
« les coups de tonnerres qui gronde » ce sont les coups qui grondent donc « ent ».
Pour le sujet un joli rêve, une bonne question, à cela il vous est permis de rêver, mais que cela soit réalisable est une autre question.
Un joli poème entraînant
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HORS CONCOURS
Je me croyais déjà tout permis Llumierelive
Déjà à l’école je me faisais sanctionner :
Plutôt que m’imbiber de racines carrées,
Des débits de l’eau des baignoires qui « fuites »,
Des trains qui se croisent de cinq à sept multipliés par huit,
Des hypothétiques hypoténuses et de ces théorèmes de cosinus,
Je m’évaporais avant d’avoir tout plein bobo dans les sinus !
Même pas en rêve le permis de béer bouche bée,
Le permis de me recréer dans la cour de récré,
Le permis de dormir mes yeux verts ouverts,
Le permis de ne rien écouter et ne rien glander,
Le permis de faire des boulettes de mes copies mal copiées,
Le permis de m’enfuir à tirelire l’aile
Le permis simple de me permettre et d’être…
Pus tard j’ai voulu passer mon permis de rêver :
Mais désillusion…il m’a été refusé !
L’examinateur a eu beau m’expliquer
Qu’il était hors question de me l’octroyer
Car étant en possession d’un tel papier
Je pourrais avoir accès à tout … sans rien payer !
Même pas en rêve le permis de démolir un muret ou le portrait,
Le permis de construire manoir, ou tapanar,
Le permis de conduire bagnole défraichie ou Ferrari
Le permis de pèche au gros ou en ruisseau
Le permis de chasse à cour ou chasse tout court
Le permis de naviguer à vapeur sans peur ou à poils à voile,
Le permis de pilotage sur vieux yoyo ou hélico…
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Rêve...Un mot que j'avais oublié. LYS
Quand danse la forêt de mes pensées
Sous le vent des colères assassines,
Tes vagues exacerbées m'illuminent
Rêve tu persistes... jeunes années...
En mon esprit tourmenté s'insinuent,
Flottent les lambeaux d'une âme éclatée...
« Invisible, sommes-nous condamnés ? »
Danses macabres volez vers les nues...
Autour de moi les foules se déchaînent,
La vie reprend ses droits, je crie au ciel :
« Le monde n'a plus ce doux goût de miel,
J'entends les clameurs et leurs bris de chaînes »
Celles d'un grand rêve, celui caché
En nous ; l'espoir de la terre promise,
Chemin bordé de fleurs où je m'enlise...
Rêve d'amour, d’amitiés, retrouvé.
Dernière édition:
