Les baisers de ton grand frère. (Pastiche des brasiers de la colère de Lilasys)
La craie bouscule fort, désherbe, aime et rode,
Sous mes humides pages ternies sans raison,
Sous la foi du rêveur où vibrent les zonzons,
Mon arme est comme marquée d'un bardeau sans le code,
Je bitume un p’tit tour qui dérape, mais qui bouge,
Découlé de tes vers qui te disent le parler du bon vieux,
Ils dessinent le pari, mon ancien bouge,
Affront de qui ? Affront de quoi ? Demande les dieux ?
Des minables devenus pour étouffer en vain nos valeurs, pour les taire,
Je ne veux t’indigner, mais t’emprisonner de mes gaies paroles,
Pour t’éprendre de mes écrits en couleur, l’effort en ma carriole,
Je pari que ton capital s’alignera en première,
Pour leur donner une salve de bien, c’est ce qu'il faut.
Les brasiers de la colère... de Lilasys
Le crépuscule s'endort sur l'herbe émeraude
Sous les timides feuilles jaunies par la saison
Sous le bois rêveur où tremble l'horizon
Les fusils des hommes masqués d'un bandeau à la mode
L'asphalte est ce jour d'un âpre sang rouge
Coulé de mains qui se disent parler au nom "d'un Dieu "
Elles assassinent sur Paris tout ce qui bouge
Au nom de qui ? Au nom de quoi ? Demande des cieux ?
Ces demi-Hommes venus s'abreuver du vin de notre belle terre
Pour nous heurter et nous empoisonner de tristes paroles
Pour répandre des cris ,la douleur; la mort est leur idole
Sur Paris notre Capitale dont nous sommes si fier
Ne leur pardonnez pas , ils savent très bien ce qu'ils font ......
LILASYS
La craie bouscule fort, désherbe, aime et rode,
Sous mes humides pages ternies sans raison,
Sous la foi du rêveur où vibrent les zonzons,
Mon arme est comme marquée d'un bardeau sans le code,
Je bitume un p’tit tour qui dérape, mais qui bouge,
Découlé de tes vers qui te disent le parler du bon vieux,
Ils dessinent le pari, mon ancien bouge,
Affront de qui ? Affront de quoi ? Demande les dieux ?
Des minables devenus pour étouffer en vain nos valeurs, pour les taire,
Je ne veux t’indigner, mais t’emprisonner de mes gaies paroles,
Pour t’éprendre de mes écrits en couleur, l’effort en ma carriole,
Je pari que ton capital s’alignera en première,
Pour leur donner une salve de bien, c’est ce qu'il faut.
Les brasiers de la colère... de Lilasys
Le crépuscule s'endort sur l'herbe émeraude
Sous les timides feuilles jaunies par la saison
Sous le bois rêveur où tremble l'horizon
Les fusils des hommes masqués d'un bandeau à la mode
L'asphalte est ce jour d'un âpre sang rouge
Coulé de mains qui se disent parler au nom "d'un Dieu "
Elles assassinent sur Paris tout ce qui bouge
Au nom de qui ? Au nom de quoi ? Demande des cieux ?
Ces demi-Hommes venus s'abreuver du vin de notre belle terre
Pour nous heurter et nous empoisonner de tristes paroles
Pour répandre des cris ,la douleur; la mort est leur idole
Sur Paris notre Capitale dont nous sommes si fier
Ne leur pardonnez pas , ils savent très bien ce qu'ils font ......
LILASYS