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Les ailes

CHENNOUFI

Maître Poète
#1
Les ailes
Dans une nuit d’automne
Mon cœur tressaille
Quand les vents tourbillonnent
Feuille-morte dansent au gris ciel
Un téléphone sonne
Et le chagrin ruisselle
Une voix qui murmure
Une peine au bout du fil

Allô oui, j’ai dit qu’est à la pareille
Personne ne répondait rien qu’un son d’un soupir
Une âme morte qui se réveille de son profond sommeil
Elle réclame des ailes et un autre sourire
J’ai posé la pareille et mes larmes qui dévalent
Mes douleurs qui s’éveillent, alors vers ou fuir

J’ai éteignis la lumière ainsi mes paupières
Mais le téléphone sonne encore sans soupir cette fois
La voix d’une femelle avec un cœur aux mille barrières
Qui me dit si tu as souffert mon amour pardonne-moi
J’avoue, j’avais tort, j’étais qu’une nouvelle mère
Les autres me murmurent, je t’ai fait du chagrin
J’ai dit qui est là au bout de fil si c’est bien toi alors
Sache que je suis déjà mort il y a dix ans de ça

Elle m’a dit, j’ai peur la nuit comme le jour
Ton fils et sa sœur avec les larmes, ils dorment
Ce soir le téléphone, c’est mon seul recourt
J’implore ton grand cœur les enfants te réclame
Pardon pour ton cœur que j’ai négligé un jour
Ta fille veut sa sœur et moi ton, je t’aime
Soudain, mon corps frissonne d’une forte douleur
Et là tout mon être épuise une goutte de larme
Mais pas comme toutes les larmes au goût amer
Épuisée de l’âme chaude comme mes douleurs

Et voilà encore la peine qui prend de l’ampleur
Dans mon cœur et dans mes entrailles
Douleur me serre fort quand je pense à ma fleur
Sur mes joues comme toujours des larmes dévalent
Soudain, une voix murmure parle à mon cœur
Ne t’en fais pas, un jour la vérité se dévoile
Elle viendra, c’est sur, quand elle sera mure
Tes horizons, tu lui offres quand t’elle aura des ailes
Avec sa candeur s’apaise surement ton cœur
S’en va tes douleurs ainsi vite ton mal

Mais le temps qui court me fait tellement peur
Partir sans voir ma fleur cela me fait encore mal
J’ai fait des efforts sans retrouver son ailleurs
Je n’ai pas eu de faveur de cette femme cruelle
Elle a pris son envol en détruisant mon bonheur
Sans que je puise faire mon rôle envers cette Jouvencelle
Qui sait peut-être qu’un jour l’amour revient dans les cœurs
Et pour mes blessures, je les laisse à l’éternelle

Mais dis-moi d’abord toi la femme qui frivole
Qu’est-ce qu’il peut faire pour vous un mort
Que tu as brisé le cœur avec ton hachoir
Qu’avez-vous fait de ma fleur et de son fragile corps
Tu m’as laissé en pleure la nuit de ton vol même pas un mouchoir

Dis-moi jusqu’au ou ils t’en emmener tes ailes
Après m’avoir quitté en fuyant mon nid d’amour
Est-ce qu’il était vaste pour toi le ciel ?
Dans ton gros ventre, tu as emporté ma fleur
Avant qu’elle fasse ses premiers pétales
Avant qu’elle naisse fétus dans ton corps
Tu as fait ta malle dis moi qui te conseille

Dis-moi sans détour dis-moi la vérité
Combien de vautours, et même de merles
Dans ta trajectoire, tu as rencontré
Combien de sacrilège et de scandales
Tu as commis loin cœur qui t’adorer
Combien de bras doux ou bien brutales
On caressé ma fille ou bien ils l’on fait pleurer
Combien de nuits blanches loin du sommeil
Loin de ces proches ma fille a pleuré
À cause d’un cœur roche brutale et cruel
Orpheline, elle est, malgré que moi, je vis
J’ai question les étoiles sur ma petite fille
Dans ce noir ciel pourquoi elle ne brille
Ils m’ont dit que la lune avec sa jalousie
Et ces lourdes chaînes prisonnières, elle est
Est-ce qu’un jour sa haine se puise va cesser ?
Elle a causé des peines à moi et ma fille

Pour ça, je voudrais la colère et l’épée d’Achille
Et des hommes de guerre avec leurs armures
Et des grands navires pour envahir, les iles
Même si paris me tire dans le dos me nuire
Je le ferais pour elle pour qu’il cesse son exile

Et je fouillerais le monde
Et les cœurs des gens
Pour retrouver ma blonde
Et faire plaisir à mes yeux
Même si elle est grande
Elle est ma chair et mon sang
Tout les bisés chaudes
Que j’envoie avec le vent
Sur tes lèvres humides
Le miel, ils ont comme goût

Oh si je pouvais lui dire
Pour lui éviter le pire
Avant de mourir
Ma fille, je t’aime

Mustapha
 
Dernière édition:

AnnaVart

Maître Poète
#2
Une belle Lettre Poétique et surtout très touchante
Personne ne peut te lire, mon cher ami Mustapha
Sans larmes, sans que ne soit pas toucher
Par ton cœur devenant une plume
Étrangement bouleversante
Pour ta fille adorée
Que tu cherches
Depuis si
Longtemps
Encore, comme avant,
Mes souhaits et mes prières sont avec toi
Regagner ta petite fille, ta princesse
Pour une longue durée de ta vie!
Amitiés
 

CHENNOUFI

Maître Poète
#3
Une belle Lettre Poétique et surtout très touchante
Personne ne peut te lire, mon cher ami Mustapha
Sans larmes, sans que ne soit pas toucher
Par ton cœur devenant une plume
Étrangement bouleversante
Pour ta fille adorée
Que tu cherches
Depuis si
Longtemps
Encore, comme avant,
Mes souhaits et mes prières sont avec toi
Regagner ta petite fille, ta princesse
Pour une longue durée de ta vie!
Amitiés
et de toi un magnifique commentaire pur sincère qui vient de tes profondeurs
et qui me va droit au cœur Merci Anna pour ces mots pleine de chaleur Merci